mardi 25 mars 2014

Finisher - Saison 2 : Episode 7 : l'armure sacrée...

Pas de Marathon sans prépa, pas de prépa sans Marathon...

En route pour le Stadium d'Albi !

Episode 6 : l'armure sacrée...


23 mars 2014 - Semaine 4 :

Dans les Chevaliers du Zodiaque, quand le Super Chevalier mystère, surgit de nulle part, pour sauver le Chevalier ressuscité, venu lui même pour sauver les preux Chevaliers, s'est fait tataner copieux à son tour comme ses camarades, bref quand il n'y a plus du tout, du tout d'espoir, une armure sacrée apparaît pour renverser le destin et permettre aux gentils chevaliers de passer à la maison du zodiaque suivante.

C'est ce qui m'est arrivé cette semaine, après 3 semaines de préparation sérieusement amputées en rythme et en durée à cause d'un genoux de plus en plus douloureux.
Hier, samedi, après une nouvelle séance supposée de seuil qui s'est transformée encore une fois en petite sortie endurance dès la première accélération, l'humeur était plus que pessimiste.

N'arrivant toujours pas à identifier la cause de mon mal et encore moins le remède, je décidais de tenter une nouvelle piste en allant acheter une genouillère de running sentant bien que la contention soulageait la douleur.

En discutant bobo avec le tenancier du shop et en lui décrivant les symptômes, il m'interrompt soudain : "c'est le syndrome de l'essuie-glace...".
Ce nom que j'avais lu et relu sans vraiment m'y intéresser parmi les réponses de mes recherches google "douleur genou running" concrétisait soudain mon mal mystère.

L'ennemi était démasqué, enfin visible.

"Et il existe quelque chose contre ça?..." osais-je anxieux. "Oui, par ici...".


Et il m'amena jusqu'à la genouillère ZAMST RK1 !


Pendant que j'enfilais la bête, il m'expliqua que cette genouillère était spécialement élaborée pour lutter contre mon fléau.


Sitôt ajustée, je sentis mon genou à nouveau solide, parfaitement soutenu dans son cocon, à nouveau prêt à affoler le compteur kilométrique, prêt à affronter un Marathon !

Dès le dimanche matin arrivé, j'ai enfilé mon armure pour m'élancer pour la SL dominicale de 2h.
Dès les premières foulées, la douleur revient. le premier faux-plat pour sortir de ma rue est déjà douloureux. La cote qui m'amène au sommet du village l'est encore plus. Je suis plus proche de la marche que du running. Je suis presque prêt à faire demi-tour au bout d'un petit kilomètre quand je me souviens que le syndrome de l'essuie-glace est plus sensible sur dénivelé. Je décide de tenter une dernière chance sur terrain plat. Espérant que le réveil pour mon genou aura juste été un peu trop brutal.

Après quelque foulées sur le plat, le miracle a opéré, j'ai soudain senti la douleur s'atténuer puis disparaître. Mon genou parfaitement positionné dans son armure était à nouveau prêt à en découdre. Le moral revint enfin.

J'ai pu courir 14km en 1h20 en reprenant enfin du plaisir. Mon mal enfin identifié, il est plus facile à combattre et ma nouvelle armure va grandement m'aider.


La course vers le Stadium d'Albi recommence !


A suivre...

1 commentaire:

  1. À ta place je me méfierais des diagnostics tout prêts... Tu devrais faire confirmer par un médecin et si c'est bien une TFL il te faut du repos et de la patience.
    La genouillère agit mécaniquement pour limiter le frottement mais ne réduit pas l'inflammation : elle ne s'attaque pas aux causes.
    Le "mieux" qu'elle puisse faire c'est repousser le problème.

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Commentaires :